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Découverte : VHINZ.

Le 26 mai prochain, VHINZ sortira son album intitulé "Belvédère". Belge d'origine arménienne, Vincent Honca (Vhinz est son nom de scène) est un passionné de claviers. Après une formation et un métier comme programmeur informatique, il se lance dès 2015 dans la musique. Très vite, il va intégrer une autre de ses passions : le cinéma et les musiques de films. "Belvédère" est sans doute un bel hommage à la fusion de ses deux passions : musique et cinéma.

Faisons connaissance avec Vincent.

Quel a été le déclic pour entrer dans ce monde très particulier des claviers ? "Mon intérêt pour les synthés remonte aux années 90. Bien que je suivais des cours de piano, j'ai commencé à découvrir la trance. En Belgique, la trance était très populaire et c'est là que j'ai compris qu'il était possible de créer de belles harmonies et mélodies avec des instruments électroniques.  J'ai commencé à m'intéresser à la synthèse sonore grâce aux synthétiseurs virtuels sur ordinateur et j'ai appris de manière autodidacte sur des forums et dans des magazines de production les différents types d'oscillateurs, de filtres et de modulations. Ce qui me passionne avec les synthés je peux créer des sons incroyables et faire des choses vraiment uniques. C'est incroyable de pouvoir partir d'un simple signal sonore et de le transformer en quelque chose de totalement différent, en utilisant des oscillateurs, des filtres et des effets".

Vous avez suivi une formation de programmeur informatique ?  "Il y a quelques années, j'ai suivi des cours d'informatique en programmation pour sortir de la routine ennuyeuse de mon ancien boulot de commercial. Je voulais explorer de nouveaux horizons et me lancer dans un domaine qui offrait une stimulation intellectuelle et créative".

Quels sont les paramètres importants pour combiner film plus musique ? "En tant que passionné de musique et de cinéma, je pense que l'une des choses les plus importantes dans la musique de film est de renforcer l'émotion que le réalisateur veut transmettre à travers l'écran. La musique doit être en harmonie avec les images. Quel que soit le genre, la musique doit être utilisée de manière stratégique pour renforcer l'émotion que le réalisateur veut transmettre. Un exemple, dans "Heat", la musique crée la tension avant le braquage, mais disparaît lorsque les braqueurs sont coincés par la police. Le silence intensifie la séquence et renforce l'effet dramatique de la scène. C'est un véritable chef-d'œuvre en termes de bande originale et de mise en scène de ce film".

Vous êtes sur le label Citizen, comment êtes-vous entré en contact avec eux ? "Je suis entré en contact avec Citizen Records grâce à mon morceau "Aether". J'ai pensé que les sonorités de ce morceau pourraient intéresser le label. Cela a été un match !"

Finalement, cette pandémie (malgré deux ans de fermeture) a été un boost pour la recherche, la finalisation ? "Au début de la pandémie de Covid-19, mon projet d'EP a été annulé, mais cela a finalement conduit à la création d'un album complet. J'ai travaillé sur mes projets et un concept solide s'est formé autour de celui-ci. Citizen Records m'a recontacté pour voir si j'étais toujours intéressé à signer avec eux, ce qui est un grand honneur pour moi".

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